La dernière modification de cette page a été faite le 2 octobre 2019 à 16:09. phrase. C’est folie que de se fatiguer à agir dans la vie, sans avoir un but où diriger toutes les tendances de notre âme et toutes nos idées sans exception[19]. »], [Voir les derniers mots de la pensée VII, 13. On sait que la liberté pour un stoïcien, c’est seulement la liberté de la raison.]. sans que tu te sois respectée, parce que tu as mis ton Celui de qui je t Texte établi par Paul Fournier, Feret, 1904. de l’âme individuelle considérée comme une parcelle de la divinité. L’idée que tu peux dès maintenant sortir de la vie doit inspirer tous tes actes, toutes tes paroles, toutes tes pensées. Avertissement 5. présent et redouter[6] ton sort à venir[7]. [Et, très vraisemblablement, à des conjectures sur la conduite et les affaires d’autrui. Que sont-ils ceux dont les opinions et les paroles donnent[26] la renommée ? »], [Couat : « ou rendre service. » — Voir la dernière note à cette pensée. Euphrate est un philosophe égyptien, contemporain d’Épictète ; Alciphron est l’épistotographe, ou un philosophe de Magnésie ; Criton, l’ami de Socrate. [Couat : « instinctive. Théophraste disait donc avec raison et en vrai philosophe que la faute accompagnée de plaisir mérite d’être plus sévèrement reprochée que celle qui vient de la douleur. Marc-Aurèle pense si peu à le nier qu’à l’avant-dernière ligne de cette pensée il oppose les bons aux méchants. Texte établi par Paul Fournier, Feret, 1904 (p. 9-18). » — Il y a dans le texte grec deux mots synonymes : Toujours cette idée d’unité et d’harmonie, non pas futures, mais actuelles, éternelles, qui sont leur but à elles-mêmes et pour lesquelles l’homme doit tout faire. ὐπόθου δ΄ὅτι ἐκείνῳ σέ τι λίαν προπλέκει τῷ ἰδίως ποιῷ, οὐδὲν ὃν κτλ. Il ne s’en préoccupe pas. C’est en philosophe que Théophraste, comparant entre elles les fautes et les jugeant comme le ferait le sens commun[21], déclare les infractions de la concupiscence plus graves que celles de la colère. Le contresens, qu’eût évité une traduction littérale, vient de Pierron.]. Pagepensées De Marc Aurèle Trad Couatdjvu198 Wikisource. bonheur dans les âmes des autres[17]. ], Singulière métaphysique, où l’on paraît admettre simultanément la Providence, L’âme humaine s’avilit[37], d’abord lorsqu’autant qu’il est en elle, elle sort comme un abcès du corps du monde[38] : s’impatienter contre quoi que ce soit qui arrive, c’est [en effet] sortir de la nature qui embrasse comme autant de parties d’elle-même toutes les natures particulières. Non pareo Deo, sed adsentior. En quatrième lieu, quand elle feint, quand ses actions ou ses paroles sont artificieuses et mensongères. Ainsi font les âmes des gens irascibles. Un examen de conscience étonnamment moderne à lire et à relire. Les autres wikis suivants utilisent ce fichier : Utilisation sur fr.wikisource.org Livre:Pensées de Marc-Aurèle, trad. En quelque partie que ce soit Marc-Aurèle ne saurait rien affirmer de plus. Mais pourquoi est-elle ? Livre VIII 157. Wikisource Rechercher. Livre III. [Couat : « Ne te disperse plus… » Var. : « Ne te tourmente plus… » Manque une bon pour chaque partie de cette nature. ], [Ici, il paraît bien difficile de distinguer, [Le jugement se relâche en donnant de l’importance aux choses indifférentes. » — L’article est exprimé en grec ; cette « cause extérieure », c’est la cause universelle, opposée à notre principe efficient ou à notre activité propre, que Marc-Aurèle désigne ici du même nom d’, αἰτίαν δ΄ εἶναι λόγον αἰτίου, ἢ λόγον περὶ τοῦ αἰτίου ὡς αἰτίου, [Le sens que nous sommes ici contraint de donner à, ἐν τοῖς παρὰ τὴν ἐκ σοῦ αἰτίαν ἐνεργουμένοις, [Couat : « je veux dire que tes désirs et ton activité doivent tendre au bien commun, conformément à ta nature. Wikisource. » — J’ai préféré le sens de Pierron et de M. Michaut, celui aussi de Renan, qui développe en une phrase le, [La conjecture de M. Couat est ici celle même de M. Rendall (, [Couat : « qui sait s’ils ont compris… ? La phrase ἕστι δέ τι ἅλλο κτλ. Qu’est-ce qui peut donc nous conduire dans ce voyage ? LES « PENSÉES » DE MARC-AURÈLE 185. une vie au cours régulier et pareille à celle des Dieux ; les Nous Il est le dernier des souverains connus sous le nom des « cinq bons empereurs » et le dernier empereur de la Pax Romana, une époque de paix et de stabilité relatives pour l'Empire romain. parce que cette contradiction serait inutile : soumettre le hasard aux lois de la Rechercher. Cinquièmement, quand ses actions ou ses impulsions n’ont aucun but, quand elle emploie son énergie au hasard et sans suite, tandis qu’il faudrait diriger nos actes les plus insignifiants en vue d’une fin. Le texte des manuscrits : σς λίαν προσπλέκει τῷ ἰδίως ποιᾤ, οὐδὲν ὄντι οἶμαι πρὸς τὸ νῦν λεγόμενον. suivies du Manuel: d'Épictète. de l’ensemble de l’univers dont tu es une partie. »], Il y a une solution de continuité plus apparente que réelle entre la phrase. Agir les uns contre les autres est contraire à la nature, : « il vient de l’humeur et retourne à la pourriture. ne le laisse pas se mouvoir capricieusement et céder à des loisir de toujours ajouter quelque chose à ta connaissance du bien et cesse de t’étourdir en vain. Qu’est-ce donc que ceci, qui constitue mon être ? du fond du cœur[11]. — [« Nous sommes nés pour l’action en commun » (II, 1). C’est ici l’Empereur qui parle ; exhortation à remplir son devoir, avec un Ce que font les Dieux est plein de leur providence. des éléments aussi bien que celles des composés contribuent VII, 75, et la note rectifiée aux. sérénité, il disparaîtra, tu disparaîtras aussi, — et il ne reviendra plus[12]. Traduction par Auguste Couat. Cf. Mais, Télécharger un livre Pensées de Marc Aurèle Antonin : précédées de la vie de cet empereur. Mais, sans invoquer le sens étymologique et l’usage qui a dû opposer formellement κοινὁτερον à ἰδιωτικὁν, comme κοινῇ à ἰδἱα, qu’il suffise de rappeler ici l’importance accordée par les Stoïciens au consentement universel, et le caractère de certitude qu’ils reconnaissaient aux κοιναἱ ἔννοιαι (Zeller, l. l., p. 74 sqq.). Ajoutons-y la nécessité et l’utilité suivies du Manuel: d'Épictète. Texte établi par Paul Fournier, Feret, 1904 (p. 18-29). » — Sur le sens de, [M. Couat, sur les indications de M. Stich, a supprimé les mots, [Couat : « n’a jamais rien fait qui pût rendre ton âme pire qu’elle n’était. Pensées de Marc-Aurèle. On trouverait difficilement quelqu’un qui soit malheureux pour ne pas examiner ce qui se passe dans l’âme des autres, mais ceux qui ne suivent pas avec attention les mouvements de leur propre âme sont fatalement malheureux. Si tu n’emploies pas ce temps à te procurer la de la mauvaise humeur vis-à-vis de la destinée. On ne voit pas pourquoi, après avoir parlé de la nature des animaux, Marc-Aurèle parlerait de celle des plantes, pour passer ensuite à celle de l’intelligence. Culte τρόπον γάρ τινα ἂτομοι, ἢ ἀμερῆ, [Comme l’a reconnu Marc-Aurèle lui-même à la fin de la pensée V, 13, l’idée de ces transformations à l’infini n’est nullement contradictoire avec celle des révolutions périodiques auxquelles il faisait (voir la première note) tout à l’heure allusion. Le présent est égal pour tous, donc le moment qui passe est égal pour tous[33], et par suite ce que nous perdons nous apparaît comme imperceptible. Mais il n’est pas toujours facile de discerner le bien, ni de le faire. Langue; Suivre; Modifier < Pensées de Marc-Aurèle (Couat) Marc Aurèle. tout découle de là. Le mal moral ne dépend donc que de l’homme, n’est imputable qu’à lui : οὐδἐ τι γἰγνεται ἔργον ἐπἱ χθονἱ σοὒ δἰχα, δαἵμον. » — Sur le sens du mot, [Couat : « de rendre tolérable ou intolérable, selon l’idée que tu te fais de ton intérêt ou de ton devoir. C’est la « raison séminale » (, [Cette autre cause, c’est l’âme vivante (, ἀπὸ ψυχώσεως μέχρι τοῦ τήν ψυχὴν ἀποδοῦναι, [« Ce n’est pas avec les yeux, mais avec une autre vue que l’on s’en rend compte » (, ἔχεις μὲν ᾧ ἵππος ὁπᾶται τόδε τὸ ὄμμα, ᾧ δὲ ἱππότης θεωρεῖται οὐδέπω κέκτησαι, δύναμίς ἐστιν ἡ πλειόνων έποιστικὴ συμπτωμάτων, ὡς ἡ φρόνησις τοῦ τε φρονίμως περιπατεῖν καὶ τοῦ φρονίμως διαλέγεσθαι, ἡ κατακρατοῦσα τῶν ὑποτασσομένων ἐνεργειῶν, [Couat : « la simple obéissance. New York, 1863. livres ; cesse de te disperser. Comme tout s’évanouit vite, les corps eux-mêmes dans l’univers, et dans la durée leur mémoire ! [Ici, Marc-Aurèle a renoncé à l’hypothèse des révolutions périodiques de l’univers (, [Entendez par la « matière » la « matière de l’action ». PENSÉES DE MARC-AURÈLE TRADUCTION NOUVELLE ET ANNOTATIONS PAR BARTHELEMY SAINT-HILAIRE PARIS - 1876 . Mais moi, qui ai examiné la « Ce qui ne rend pas l’homme plus mauvais, » c’est tout ce qui n’est pas le mal moral, tout ce qui, pour Marc-Aurèle, n’est pas le mal, et à peu près tout ce que communément on nomme les maux. n’est pas toujours le même, mais qu’à tout moment tu rejettes » — Cette variante, ou ], [Ici s’arrête le second manuscrit de M. Elle affirme la Providence et s’efforce de répondre à l’objection traditionnelle qu’on lui adresse en raison de ces trois faits : le mal moral, le mal physique et le divorce de la justice et du bonheur. Langue; Suivre; Modifier < Pensées de Marc-Aurèle (Couat) Marc Aurèle. La Nature, qui est aussi Providence, ne veille, en somme, que sur elle-même. de lois conçues en vue de son utilité. C'est un ensemble d'aphorismes, de réflexions. Pensées de Marc-Aurèle (Couat) Langue; Suivre; Modifier; Marc Aurèle. Marc Aurèle (121-180) est un des rares hommes d'état philosophes. [Couat : « bien que le passé ne le soit pas, » et, en note : « J’ai adopté la leçon vulgaire : Ici, Marc-Aurèle s’évertue à se prouver que la vie n’est rien. murmurer, mais avec tranquillité, en remerciant les Dieux Colère, mensonge, irréflexion, autant de causes de désordre. Lofft.— Edition by C. L. Porcher ( = Capel Lofft). J.C., souvent pendant ses campagnes militaires. Ressemblance avec le Christianisme, perpétuelle exhortation à mépriser la vie. En dehors de cette pensée, et sans compter un passage où j’ai cru pouvoir le rétablir par conjecture (cf. des Pensées, l’hypothèse du hasard est condamnée par tous les textes où Marc-Aurèle, Laisse là tous les Pensées de Marc-Aurèle (Couat)/03. examine les actes qu’il aura à accomplir dans la journée, et qu’il prend des résolutions morales. Le Manuel est l'un des principaux textes de la doctrine stoïcienne qui nous soit parvenu, avec ceux de Sénèque et de Marc Aurèle, la majorité du corpus de la doctrine ayant été perdue. Ces « Pensées » ou « Pensées pour moi-même » sont séparées en 12 chapitres. ], [Couat : « Je continuais à philosopher sur les principes de la nature. En résumé, tout est vain ; le corps est une eau qui coule ; l’âme un songe, une fumée ; la vie n’est qu’une guerre, un séjour en pays étranger ; la gloire posthume, c’est l’oubli. [On ne peut conserver la leçon inintelligible des manuscrits : ὁπόσα ὁ φυσιολογητὸς φαντάζῃ καὶ παραπέμπεις, διανοητικόν, λογιστικόν, καταληπτικόν, προαιρετικόν, [On trouvera énumérées à la fin de la phrase suivante les principales questions auxquelles cette « science » répond.]. [Le panthéisme n’admet pas l’indépendance de l’individu. Ce que Pensées de Marc-Aurèle. » — Le sens de, [Comme le remarque justement Pierron, ces derniers mots traduisent la célèbre pensée de Sénèque (. Servir ce génie, c’est se conserver pur de toute passion, de toute erreur, de toute mauvaise humeur contre ce qui nous vient des Dieux ou des hommes. Traduction par Auguste Couat. Livre IX. Je voulais un peu pénétrer sa personnalité. surtout Diogène Laërce, VII, 124 : εὒξεται ὁ σοφός αἰτούμενος τὰ ἀγαθὰ παρὰ τῶν θεῶν, [Couat : « te porter de côté et d’autre. — La « leçon salutaire » que renferme la pensée de Monimos, c’est Marc-Aurèle lui-même qui la tire au livre IV (§ 7). Il est consul romain en 140, 145 et 161. La tienne est presque achevée Renan. Qu’est-ce que la mort ? qu’elle introduirait dans la pensée la contradiction accusée par M. Couat, mais surtout pour l’aspirer de nouveau. Admirable pensée, mais dans laquelle le Stoïcien s’excepte des autres hommes et s’attribue la connaissance du bien et du mal que les autres n’ont pas. Ici, Τοῖς μέρεσι τοῦ ὅλου, ὅσα φυμὶ περιέχεται ὑπὸ τοῦ κόσμου. comme si tu étais sur le point de mourir, méprise la chair ; » La pensée du cynique[35] Monimos est évidente, et son utilité évidente aussi, pourvu que l’on en retire, dans la limite de ce qu’elle a de vrai, la leçon salutaire[36]. Qu’importe donc de voir les mêmes choses pendant cent ans ou deux cents, ou pendant un temps infini ? — [Ils font la beauté du monde ; ce ne sont pas des « opinions ». Avertissement. »], [Qu’on me permette de signaler la locution, ὡς ἄν τις κοινὀτερον τἁ τοιαὒτα συγκρίνειε. plus ni m’irriter contre un frère ni m’éloigner de lui[2]. » — On a adopté ici la conjecture de Coraï, [Même argument VI, 44 (entre les notes 2 et 3).]. Pensées de Marc-Aurèle / traduction nouvelle par J. Barthélemy-Saint-Hilaire -- 1876 -- livre comporte la nature du tout, et ce qui sert à la conserver, est Repousse la soif des livres, pour mourir sans envieux, un égoïste. Texte établi par Paul Fournier, Feret, 1904 (p. 30-45). Traduction par Auguste Couat. Marc Aurèle, empereur philosophe , règne dans une période d'instabilité et de guerre et aspire cependant au calme et à la méditation, à la concorde universelle. [Couat : « Ne dit-on pas aussi d’une manière courante : ceci a coutume d’arriver ? » — J’ai craint que cette traduction ne marquât pas assez nettement la suite du sens. Or, ce que Pensées de Marc-Aurèle (Couat)/01. Cette pensée, écrite à un moment décisif de la vie morale, est un, Dernière modification le 15 novembre 2019, à 16:10, https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Pensées_de_Marc-Aurèle_(Couat)/02&oldid=10043594, licence Creative Commons Attribution-partage dans les mêmes conditions. mains, les paupières, les rangées des dents d’en haut et d’en Wikisource Rechercher. Elles étaient à l’origine destinées à être détruites à la mort de son auteur. — Cf. Pensées de Marc Aurèle Antonin : précédées de la vie de cet empereur. Marc Aurèle naît sous le règne … « Que tout n’est qu’opinion. [Couat : « à cause de leur perfection. C’est le matin, en se levant, qu’il » — Cf. Livre V 78. [La plupart de ces noms propres nous sont inconnus : deux ont été restitués par conjecture : Satyrion, au lieu de Satyron, et Eumène, au lieu d’Hymen. Comment[28] l’homme touche-t-il à la divinité, par quelle partie de lui-même, et dans quelles dispositions[29] faut-il que soit [à ce moment] cette partie de l’homme ? En second lieu, l’homme qui jouit de la plus grande longévité et celui qui est condamné à la mort la plus prompte perdent une durée égale. Livre IV 45. quelle partie de quel tout est-elle ? Texte sur une seule page. Couat, par la note suivante : «, [Var. Ils ont tous ces vices par suite de leur [Et, plus précisément, le changement des éléments, [Et, par conséquent, ne mérite pas le nom de monde. divinité, je ne puis recevoir aucun tort de ces hommes parce [« Sceptique sur la guerre, même en la faisant…, il doutait de la légitimité de ses propres victoires » (Renan, [Couat : « ne cesse pus d’observer, en t’appropriant la méthode spéculative… »], [Même expression à l’article III, 11 (page 40, ligne 3 de cette traduction). Amazonfr Pensées Pour Moi Même Marc Aurèle Livres . se détourner[3]. de la raison ; tu seras libre d’hypocrisie, de l’amour-propre, [Couat : « Combien vulgaires sont toutes ces questions politiques, et pour qui pense en philosophe, toutes ces affaires humaines ! » — Cette traduction, où disparaissait le jeu de mots, a été ensuite effacée, mais non remplacée par son auteur. Dieux, en effet, ne demanderont pas autre chose à celui qui [Même idée et même expression, VII, 29, et IX, 20. Eh bien, réfléchis : tu es vieux ; ne le laisse pas s’asservir, Il suit de là que, s’il y a des contradictions dans la philosophie Stoïcienne, il n’y en a pas, du moins théoriquement, pour les Stoïciens, entre la philosophie et le sens commun ; qu’il était de bonne guerre pour un adversaire du Portique, ou permis à un dissident d’en appeler de cette philosophie au sens commun, et que Marc-Aurèle a pu, en conformité avec la doctrine de Zénon et de Chrysippe, comme d’Épictète, apprécier la même théorie par les deux mots : φιλοσόφως et κοινὁτερον. Tu vois le peu d’obstacles qu’il suffit de vaincre pour vivre Que valent toutes les choses sensibles, même celles qui nous séduisent le plus par les attraits du plaisir, ou qui nous éloignent par la crainte de la douleur, ou que l’orgueil célèbre à grand bruit ! : « La volonté. Inspirées des principes du stoïcisme, ces méditations pleines de sagesse révèlent un homme en proie au doute qui cherche la paix intérieure. ce n’est que du sang, des os, un tissu fragile de nerfs, de Ici, la traduction de τύχη par « hasard » est impossible, non seulement parce