Dans la nuit du 11 au 12 décembre 1901, à Tamaris-sur-Mer (Var), égorge Marie-Antonia Van Brusselin, prostituée, et lui vole sa bague. 44 ans. Il assomme mortellement à coups de barre de fer le 13 octobre 1961 Alfred Gardien, poissonnier, dans sa boutique place Jules Guesde à Lyon. Leur complice, Charles Garche, 20 ans, est condamné à vingt ans de bagne. La somme détournée s'élevait à 96 francs. 20 ans. Tue d'un coup de manche de pelle le 05 janvier 1928 Mlle Germaine Leclerc, 68 ans, rentière à Morhange. Ses complices, Rebroin et Rivotta, sont condamnés à perpétuité et vingt ans de travaux forcés. Informé par lettre anonyme de son cocufiage, Bruère interdit à Gautier de remettre les pieds chez lui, et qu'il ne pardonnerait cette tromperie que s'il quittait le pays. Etrangle avec une corde dans la nuit du 21 au 22 mai 1893 sur les fortifications de Lille un ex-co-détenu, Dirson, libéré le matin-même, à qui il vole ses vêtements et ses économies, soit un peu plus de 200 francs. Le 23 septembre, à Saint-Pierre-d'Oléron, viole, égorge et éventre Adeline Robert, 15 ans, bergère, avant de lui arracher l'oreille gauche pour lui voler sa boucle d'oreille. Ansel, amant et complice d'Héloïse, est condamné à perpétuité. Auteur de vols suivis de sept incendies volontaires à Paris entre le 31 août et le 05 octobre 1906. Gracié le 11 février 1928. Satyre assassin de Marguerite Flesch, 15 ans, qu'il viole, étouffe et égorge de deux coups de canif dans la forêt de Moyeuvre le 4 novembre 1895, près de Briey. Licencié de chez les Lauvauzelle, fermiers au Grand-Madieu, revient huit jours plus tard, le 10 décembre 1932, pour se venger. Pris en amitié par M.Auguste Bruère, cordonnier et facteur auxiliaire de Broc, il le remercia en devenant l'amant de sa femme, née Marie-Madeleine Hérissé, 26 ans. En 1864, met le feu à la grange de la ferme d'Onglevert à Audresselles, puis à la ferme Framery. 19 ans. Tente de violer puis étrangle et tue à coups de marteau sa patronne, Mme Draycott, le 31 décembre 1921 à Boulogne-sur-Seine. Refait parler de lui le 02 octobre 1912 quand il est arrêté pour avoir tenté de cambrioler le trésor de la cathédrale de Namur. ... Si la Révolution cherche à faire illusion en faisant perdurer une apparence d'institution judiciaire, c'est en fait bien souvent l'arbitraire expéditif qui règne : tous les moyens sont bons pour faire disparaître ceux qui sont considérés comme traitres à la Nation. Tua le 19 décembre 1947 son oncle Prosper Fourties et sa soeur aînée Marie-Louise, 25 ans. 41 ans, domestique à Croissy. 31 ans, employé d'épicerie, pédophile récidiviste. Grâcié le 16 octobre 1878. A cause de leur participation, Marie-Aimée est considérée comme parricide. Viole et égorge la veuve Lefebvre, 47 ans, chez elle le 28 février 1924 à Nointot, puis dérobe 70 centimes et des cuillères en argent. 42 ans, cultivateur. Pour la voler, égorge d'un coup de couteau et étouffe avec un torchon Mme Berciaud, gérante d'une parfumerie rue Mozart à Paris, le 21 janvier 1913. 42 ans, ouvrier agricole. CONDAMNATION POLITIQUE. Afin de garantir l'efficacité de leur incarcération, ils ne peuvent bénéficier pendant cette période d'aucun aménagement de leur peine. Charretier, mari violent. Grâcié le 20 février 1884. 63 ans, pêcheur. Le 25 mars 1910, tua à Mézeray la Veuve Besland, 77 ans, rentière, avec la complicité de son frère Frédéric, condamné à perpétuité. A St-Hilaire, le 29 mars 1879, attirent Me Yence, notaire, dans un piège, le tuent à coups de revolver et de pierres puis l'achevent en l'étranglant avec une corde, avant d'aller piller son étude pour voler un peu d'argent et une quarantaine de lettres de change. Tua à coups de marteau son patron, Mr Fouet, le 10 janvier 1949 à Lavelanet. A Gérardmer, le 12 décembre 1909, ivre, étrangle sa mère à mains nues et vole 50 francs. 17 ans. Le 18 décembre 1960, rue du Baignoir, à Marseille, poignarde sa maîtresse, Anna, dite "Violette", prostituée de 30 ans, pour avoir refusé de l'épouser. M.Martin s'opposait aux projets de mariage de son fils, arguant que la fiancée n'était pas une fille bien, et il fut abattu alors que lui-même se rendait à la mairie pour y célébrer ses secondes noces. Poignarde d'un coup de couteau dans le coeur, le 16 novembre 1911 à Cherbourg, Mlle André, épicière, qui venait de le surprendre en train de vider son tiroir-caisse. Désespéré par ce crime, Jean Borgnet, son mari, se suicide le 28. Marie-Jeanne est condamnée à perpétuité. Arrêté, s'évade. Dans une mauvaise situation financière, Denis ne pouvait lui payer les 300 francs qu'il lui devait. Le 10 août 1883, assassine à coups de marteau chez lui, rue du Regard à Paris, l'ancien avocat Ducros de Sixt, tenta de tuer également la vieille soeur de ce dernier. 32 ans, déjà condamné dix fois. 22 ans, caporal fourrier au 87e régiment de ligne, tue le caissier Florence au Havre le 30 novembre 1874 de quatre balles de revolver tirées à bout portant, dont deux dans la tête, pour fracturer le coffre de son patron, agent de change, et voler 8.000 francs. Tua sa mère le 16 décembre 1886 à Rouy-le-Petit pour lui voler ses économies. Husar grâcié, Paprocki exécuté le 23 mars 1925 à Saint-Pol-sur-Ternoise. 23 et 21 ans. Sous le faux nom de Riaboff, cambrioleur du consulat russe de Marseille en 1920. 24 ans. Pauline est grâciée, Eugène exécuté le 06 octobre 1893. Mécanicien aux Tramways de l'Ain. 22 ans, caporal fourrier au 87e régiment de ligne, tue le caissier Florence au Havre le 30 novembre 1874 de quatre balles de revolver tirées à bout portant, dont deux dans la tête, pour fracturer le coffre de son patron agent de change et voler 8.000 francs. Tue chez les Duluc, à Miramont-Sensacq, dans la nuit du 26 au 27 octobre 1875, Bernard Castay, commerçant aisé, d'un coup de revolver dans le visage et de plusieurs coups de barre de fer sur la tête, avant de voler 300 francs en billets de banque, un bas de laine rempli de pièces d'or, plusieurs hectolitres d'avoine dans sa ferme, et enfin de jeter son corps dans un gouffre voisin, le "Trou aux fées". PARRICIDE, 35 ans. Abat d'un coup de fusil, le 26 mars 1896 à Cussac sa nièce Ida Château, et blesse gravement d'un second coup de fusil son épouse. Mécontent du butin, il revient la nuit-même dans la maison, et finit par empocher 150.000 francs de plus... en oubliant 10.000.000 francs dans une caisse anodine ! Couple de sans profession et sans domicile. Guillotiné à Béthune le 14 novembre 1933. Assassinèrent les époux Charles, 67 ans, et Clémence Limousin, née Gourin, 63 ans, à Buxerolles, le 12 juin 1921 : le mari d'une balle dans la tête, la femme de six coups de couteau et de deux balles, pour voler 1455 francs. Les "Bandits d'Hazebrouck" : crimes crapuleux, sans compter au moins 118 vols (chiffre probablement très inférieur à la réalité). Egorgèrent au couteau de boucher, au soir du 11 janvier 1946 Mlle Blanche Durand, fermière à Pithiviers-le-Vieil, et ses deux domestiques, MM.Adrien Boulmier et Abel Mariel. Amants diaboliques. Adèle survit trois mois à l'agression, et meurt le 30 janvier 1893. Mobile du crime : récuperer les économies de la défunte - qu'il maltraita durant leurs quatre années de mariage -, s'élevant à plusieurs milliers de francs, et parvenir à ses fins avec la fille de sa femme, Ernestine Bénard, 16 ans, qu'il convoitait depuis l'année précédente. Son complice Luigi Gualdi, 24 ans, charpentier, manque être appréhendé le 05 à Lurs, à la ferme de la Serre, par... Gaston Dominici et son fils Clovis ! Gautier est exécuté le 15 avril 1873, et la veuve Brière est graciée. Assassine le 14 juin 1909 à Beulotte-Saint-Laurent Mme Aubry, cultivatrice, pour la voler. Délinquants avant la guerre, anciens de la Waffen SS. A Saint-Agnan-sur-Erre, assassina à coups de bêche et de serpe Emile Trichet, 70 ans, le 19 janvier 1946 pour le voler. Grzasik le pousse dans les escaliers avant de le frapper de trois coups de marteau sur le front. Abat au fusil de chasse le 11 novembre 1961 à Gascougnolles les chasseurs Marcel Moinard et Louis Bonnet qui l'avaient surpris alors qu'il venait de tirer un lièvre sur une propriété interdite. Le 17 février, à Rumbeke (Belgique), Abel et Deroo tentent de tuer la veuve Stragier. Etranglent et frappent à coups de poing américain, le 12 janvier 1921 à Quelmer Adèle Pépin, 67 ans, aubergiste et épicière, avant de l'achever à coups de talon, pour lui voler 2.600 francs. 64 ans, forgeron. 24 ans, ancien marin. La frappait souvent devant témoins. Butin du crime : 102 francs. Le 13 octobre 1944, tua à Enghein à coups de marteau M. et Mme Deville, pour leur voler 3800 francs. Fut condamné à la réclusion criminelle à perpétuité à Paris pour ses affaires anarchistes le 27 avril 1892. Il est condamné le 27 avril 1937 à 20 ans de travaux forcés, et son complice Honoré Passeron à cinq ans de prison. Le 28 octobre 1922, à Soxey, près de Longwy, tuent à coups de revolver dans la tête le grand-père Hippolyte Pierson, 74 ans. Son complice est condamné à vingt ans de travaux forcés. Condamné par contumace à perpétuité le 15 novembre 1922 à Alençon pour vols et tentative de meurtre sur les gendarmes à Gacé le 04 mai 1920. En compagnie de ses complices Liottard, Berruyer et David, agresse M.Delaye, cultivateur, 81 ans, à Alixan, dans la nuit du 23 au 24 janvier 1907, et lui brûlent la plante des pieds pour lui faire avouer la cachette de ses biens, soit 40 francs. Après s'être évadé de prison, alors qu'il purgeait une peine pour vol, assassine à coups de ciseaux Mme veuve Lambert et sa domestique Mlle Rose Ornai le 14 octobre 1950 à Metz, dans une villa du rempart Saint-Thiébault, afin de la dévaliser. Soldats au 117e régiment d'infanterie de ligne casernés à la Flèche. Tua le 14 octobre 1945 à Dombrot-le-Sec ses grands-parents à la serpe et à la hache, avec sa maîtresse Renée Lefevre. Tuent de 33 coups de couteau le 21 juillet 1907 à Viviez Angèle Lapierre, la maîtresse d'Emmanuelli, au courant de ses activités criminelles et qui représentait un danger. Exécution prévue à Saint-Omer. 17 ans chacun, rôdeurs. Graciée le 21 octobre 1961, peine commuée en 20 ans de travaux forcés. Surpris alors qu'il cambriole un magasin de chaussures à Marseille, rue Mission-de-France, tire un coup de revolver sur les agents de police venus les arrêter. Une dernière affaire d'escroquerie à l'assurance-vie en 1931 causa sa perte. Tue à Pont-Caffin, près de Guingamp, le 12 janvier 1881, M.Le Gall pour le voler. Chefs de la "Bande d'Albert", une bande de 15 pillards qui écumaient les fermes de Picardie entre 1944 et 1948, auteurs de onze vols à main armée, de deux attaques de banque et d'un meurtre, celui de M.Cauet, marchand de bestiaux à Vauchelles-les-Auties, abattu d'une balle dans le foie le 13 janvier 1948. S'était rendu coupable de trois tentatives d'assassinat entre septembre et octobre 1903 sur la route de Crémeaux (RN81, entre Roanne et Clermont-Ferrand), suivant un même modus operandi : attendre caché sur le bord de la route et leur tirer dessus à coups de fusil pour les dévaliser. Amants, assassinent Joseph Durif, fermier à Maringues, et jetterent son corps dans un réservoir le 08 février 1892. Valet de ferme à Campagnac, tua en compagnie de Basile Hézy, sur la route de Saint-Geniez Joseph Carrière, 18 ans, pour lui voler ses gages s'élevant à une centaine de francs le 5 novembre 1881. Le 8 mai 1952, à Anduze, assomme de deux coups de marteau son ancien patron, M.Renaux, 78 ans, ingénieur à la retraite pour fracturer son coffre-fort. Auteur de plusieurs incendies volontaires pour toucher l'assurance. Dernier membre des "Chauffeurs de la Drôme". Suite à un accrochage entre le fiacre qui le transportait et une automobile au carrefour Réaumur-Sébastopol, le 05 août 1910, assomme d'un coup de poing le chauffeur de la voiture qui cherchait querelle. En mars 1944, il assomme et vole Germaine, une vieille dame dont il a déjà cambriolé le domicile peu avant Noël 1943. Les deux autres complices, Jean Blanc et Colette Tricot, écopent respectivement de 20 mois de prison et d'un acquittement. Tue à coups de marteau son mari Pascal Blazy, 51 ans, dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre 1912, et abandonne son corps à Ornolac, sur la route entre Tarascon-sur-Ariège et Ax-les-Thermes. Egorge d'un coup de couteau le 11 avril 1907 Mathilde Lecourt, dite "la mère Gaspard", aubergiste, à Beaucouzé, pour la voler. 22 ans, ouvrier ajusteur. Hubert, 61 ans, et ses fils Roch, 24 ans et Albert, 20 ans. 54 ans, fermier à Touverac. 37 ans. Après une dispute, assomme à coups de fer à repasser sa mère, Caroline Petracco, 61 ans, avant de l'égorger au couteau de cuisine, puis fait la même chose à son père, Joseph, 65 ans, sous-directeur à la tuilerie Adt de Jeandelaincourt, le 10 octobre 1967 à Champigneulle, parce qu'ils refusaient qu'il épouse sa dernière compagne en date. La victime survit. Maniable est grâcié, Vasseur guillotiné le 16 octobre 1923. Sur la route entre Desvres et Bazinghem, égorgea Mme Carlu, 31 ans, veuve de son cousin, pour se venger d'avoir refusé ses avances, et lui vola 80 centimes le 13 mai 1913. Lieutenant et chef d'un quatuor de bandits polonais, cambriolent dans la nuit du 10 au 11 avril 1924 une ferme isolée de Saulty-l'Arbret. Orphelin très jeune, le 13 janvier 1872 à Rennes, étrangla sa tante et bienfaitrice Angélique Pinel, institutrice, parce qu'elle refusait de lui donner de l'argent, pour lui voler deux obligations de l'Ouest et deux obligations de la Société immobilière. Tue Jean Maurel, fermier, 74 ans, sa femme, 65 ans, et leur fille Valérie, 40 ans, à coups de "bigos" au hameau de la Bessette le 18 février 1952, cambriole la ferme, dérobe 25.000 francs, puis met le feu à la maison pour supprimer toute trace de passage. 41 ans. Tua le 10 décembre 1888 à Autreppes la veuve Désaunois à coups de marteau, brûla la maison pour effacer les traces. Assassine le 31 mars 1894 au château de Vaitz Mme veuve Guyot de Saint-Michel, 82 ans, pour la voler. Dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre 1878, à Saint-Cyr-les-Colons, tue à coups de couteau de boucher ses grands-parents, Marie Huant, épouse Moreau, 81 ans, (un coup, qui la décapite presque) et Sylvestre Moreau, 79 ans (trois coups dans la poitrine), pour voler 100 francs et une montre d'argent. Satyre assassin de François Pierson, 7 ans, fils d'un fermier aux alentours de Génaville. Arrêt cassé le 13 septembre 1877, rejugé le 23 novembre 1877 à Versailles, condamné à perpétuité. 33 ans, domestique de ferme. Craignant de la voir partir - ainsi que ses économies, environ 1.000 francs -, le 24 novembre 1881, tua sa mère à coups de pelle à feu et la piétina avec ses sabots, puis mit le feu à sa propre maison pour faire disparaître les traces. La malheureuse, venue du Calvados, après avoir rendu visite à des proches, s'était perdue sur le chemin de la gare, et avait demandé sa route à son futur assassin... qui l'entraîna dans un lieu isolé, près d'un champ de manoeuvres, pour abuser d'elle. PARRICIDE, 20 ans, ajusteur mécanicien. 27 ans. 33 ans, porteur de pain à Saint-Denis à la boulangerie Duboc. Incarcéré à Nancy. 33 ans, domestique de ferme. 34 ans, valet de ferme. Valet de ferme à Campagnac. Dans la nuit du 24 au 25 décembre 1949, à Clamart, s'introduit chez Mme Roffé pour la cambrioler. Tua un complice cambrioleur, Castille, en l'assommant à coups de pavé puis en l'égorgeant à Avon, dans la forêt de Fontainebleau, le 24 septembre 1885. 24 ans, ancien transporteur, mécanicien. Brûle vif Gaston Borgnet, le cousin de son mari, le 24 janvier 1959 à Fontenay-sous-Bois. 35 ans. Cadière est grâcié, Gueydan exécuté le 09 octobre 1923. Chef d'une bande de "nervis", tira plusieurs coups de feu au printemps 1906 sur les policiers venus l'arrêter, et blessa gravement l'agent Sapet. Modeste, frappé également d'un coup de pot à lait, reçoit onze coups de couteau, dont deux au poumon, mais survit ; Joséphine, elle, est indemne : sa coiffe a été déchirée par la lame, sans que sa tête ne soit touchée ! Son complice, Claudius Voisin, 25 ans, déserteur aussi, est condamné à vingt ans de travaux forcés. Blesse grièvement M.Gelato, épicier, le policier Mathieu, puis abattit Charles Blanc, préfet de police à Toulon. Etrangla le 8 juillet 1887 son second enfant naturel, âgé de deux mois et demi, lasse d'entendre sa famille lui reprocher son inconduite. Etrangle à mains nues le 27 juin 1903 Léonie Carbonnier, dite "Clairette", prostituée, à Cherbourg, pour lui voler ses économies. 35 ans, tailleur de pierres. Misathrope et paranoïaque, Bouton accusa sa victime d'avoir empoisonné ses lapins et volé ses récoltes ! Jeta sa fille de deux ans dans les eaux de la Touques, à Lisieux, le 27 décembre 1943. Jeannine Maës, épouse de Simon et complice, est condamnée à trois ans de prison. 23 ans, Espagnol, tout juste libéré d'Eysses. 23 ans, ancien marin. Le 13 janvier 1945, tue à Masles (Orne) à coups de marteau M.Dakopoulos, son complice. Craignant d'être expulsé de la maison paternelle, le 09 août 1883, tue son père Jean, cultivateur à Champeau, commune de Brivezac, de trente coups de hache et de couteau, et le jette dans une mare voisine pour faire croire à un suicide. A Balaives, décapita sa jeune femme Dragika, une Yougoslave épousée en janvier 1949, à coups de serpe puis de hache car elle voulait le quitter, le 30 septembre 1949. Agresse le 19 septembre 1869 Philippe Pruvost, brasseur, 19 ans, pour le voler et le laisse pour mort. Le 05 novembre 1944, à Saint-Denis, en état d'ébriété, abat de deux balles de revolver sa soeur aînée, Geneviève, tenancière de bar, parce qu'elle lui faisait la morale. 29 ans, trimardeur. A Sommancourt, tue à coups de couteau dans la nuit du 20 au 21 mars 1871 M.Formel, maire octogénaire du village, et Léonie Paymal, sa domestique de 21 ans, pour les voler. 54 ans. Ira commettre d'autres crimes, dont un assassinat, dans les Alpes-Maritimes, puis dans la région nantaise. 29 ans. Abat d'une balle dans le ventre M.Beaumont, marchand de bicyclettes, à Saint-Marcel-lès-Valence, le 31 janvier 1930, et blesse Mme Beaumont. 42 ans, ouvrier agricole. 20 ans, cantonnier. Acquitté du meurtre de sa femme en février 1897... notamment grâce au témoignage de son employeur : cet antécédent lui fut fatal. Le 10 janvier 1893, fracasse le crâne de M.Gagneur, 50 ans, à St-Mards-le-Fresne et met le feu à sa chambre pour effacer les traces de son crime. Tue à coups de hache (lui sectionnant trois doigts, puis lui fendant le crâne), le 10 septembre 1878, à Gondenans-Montby, Etiennette Euvrard, épouse Rondot, avant de violer sa fille Célina, 24 ans, qu'il convoitait depuis plusieurs semaines, et de tenter de la tuer en l'étranglant. Ses complices, Marinel, 33 et Ozouf, 23 ans, sont condamnés à perpétuité. Crime sans véritable raison autre que la méchanceté : le débirentier mettait un point d'honneur à payer ses comptes en temps et en heure. 19 ans, ancien mousse. Mobile : haine conjugale, sa femme l'ayant quitté après quatorze ans passés à subir sa violence. 25 ans, journalier. Tue le 19 février 1880 à Lyon sa mère Mariette en l'assommant, puis en l'étranglant avec un foulard, avant de violer le corps et de dérober quatre francs, deux clefs et des obligations. Grâcié le 04 avril 1897. Tua M.Moulines à Dambert. PARRICIDE. Juliette et un autre complice, Bouchau dit "le Manchot", sont condamnés à perpétuité. Ce dernier, trouvant M.Hartart seule, tente de l'assassiner pour la voler. Deroo, 30 ans. Le 20 janvier 1956, tue à coups de couteau Mme Chenaud, 77 ans, marchande de journaux. Marcel Barbeault, surnommé le « Tueur de l'ombre »Condamné en juin 1981 Par la Cour d'assises de l'Oise A la prison à perpétuité Il échappe à la peine de mort, encore en vigueur. Trinquier et Legendre, et en blessant gravement six autres employés, MM. 24 ans, décolleteur, ancien "Bat d'Af". A bord du train, assassine puis jette sur la voie M.Guimard, marchand de chevaux, entre Laroche et Nevers, le 24 mars 1914, pour le voler. Ses deux co-accusés sont acquittés. Sous un faux prétexte, emporte la fillette sur son cyclomoteur, et la poignarde dans un bois avant d'abuser d'elle. Marin. Georgette exécutée le 06 février 1942, Emile exécuté le 07 février 1942. Faute de retrouver ses papiers, la victime ne sera jamais identifiée. Incarcéré début février 1907 pour vols commis dans une chapelle de Saint-Gens-aux-Taillades, puis dans quatre fermes de Robion du 24 au 26 janvier précédent, tente de s'évader de la maison d'arrêt Sainte-Anne d'Avignon, le 08 mai 1907, en compagnie de son co-détenu, Fernand Eysseric, 23 ans, serrurier et cambrioleur. 27 ans, cultivateur à St-Vincent-de-Salers. A Allemans-du-Dropt, étouffa avec un mouchoir dans la nuit du 23 au 24 décembre 1926, Hermance Chanteau, veuve Duchamp, 80 ans, pour lui voler du linge (pour une valeur de 1.000 francs) et entre 600 et 700 francs en billets. Brisent le crâne le 02 janvier 1923 de Maurice Durand, 14 ans, valet de ferme chez la famille Sacré à Marans, pour dévaliser la ferme du Clousicq que Durand surveillait en l'absence de ses employeurs partis au marché. 28 ans, cultivateur. Blanchi deux ans plus tard par lettre.